Tu pensais que tout était fixé,
Qu’à part la tristesse, rien tu ne ressentirais.
Tu croyais que le bonheur était comme un mythe,
Que chaque seconde la douleur persiste.
Mais tu t’es aperçu quelques temps après,
Que la vie avait peut être un bon côté.
Tu commença à perdre cette attitude qui te cachait,
Et ton véritable intérieur tu commenças à dévoiler.
Peut être que la peur demeurera encore…
Peut être que la méfiance ne changeras pas sa place…
Peut être que la tristesse reviendra…
Mais au fond pourquoi penser à ça?
Si tu pus apprendre une chose se fut :
“Peut importe ta douleur et tes pleurs,
De sourire, et d’être heureux il fallut,
Pour faire avancer cette roue que représente ta vie”.
L.M
(Merci de ne pas copie ou utiliser ce texte sans mon accord.)